maitresse

Je cherchais une nouvelle MAÎTRESSE à servir. Après des heures sur internet, je suis tombé sur le profil de MAÎTRESSE CARLA. Sur son profil, je ne distinguais pas bien ses traits mais un soumis n’est pas là pour juger sa MAITRESSE mais pour lui obéir.

 

 

                                                                         

 

Après quelques instants de réflexions, je pris mon courage à deux mains pour l’appeler afin de connaître les modalités pour une rencontre.

Une voix envoûtante me répondit : ‘Bonjour.’

‘Bonjour Madame, je suis un soumis et j’aimerai savoir si il est possible de rentrer à votre service.’ dis-je la gorge sèche.

 

‘Mais bien sûr. As-tu déjà pratiqué ? ‘ me demanda-t-elle.

 

‘Oui, MAÎTRESSE’ lui répondis-je

 

‘Très bien tu connais alors les règles. Viens jeudi prochain à 14h00. Je te fais suivre par sms l’adresse’ m’intima-t-elle.

 

‘Oui MAÎTRESSE.’ eu-je le temps de lui répondre avant qu’elle ne coupe la communication me laissant seul tel un chien à l’abandon.

 

Le début de semaine passa relativement vite et le jeudi matin, je me préparais pour l’après-midi de découverte. Au programme lavement et épilation.

 

Avant de prendre la route, j’entrepris de passer une culotte en plastique sous mes sous-vêtements afin de respecter le donjon de ma future MAÎTRESSE en mouillant pas son sol.

 

Les kilomètres furent vite avalés et enfin, je me garais à proximité de son donjon. Un rapide échange de sms avec ELLE, m’autorisa à aller sonner à sa porte.

 

L’instant de la première rencontre approchait à grand pas. La porte s’ouvrir et rapidement, je franchi le seuil malgré une légère appréhension.

 

Se soumettre réellement, sans instrumentaliser sa MAITRESSE ou son MAITRE, c’est donné un pouvoir immense à cette personne.

 

Elle est là. Moulée dans une robe-corset, ses jambes galbés sont magnifiquement misent en valeur par des bas noirs. Sa chevelure blonde encadre un visage finement dessiné où ses yeux sont à la fois rieurs, transperçant.

 

Immédiatement, je mis les mains dans le dos et baissais la tête. Il est inconvenant pour un soumis de dévisager sa MAÎTRESSE, et à cette seconde, je savais qu’elle m’éduquerait comme il fallait.

 

‘Très bien, tu es à l’heure ma salope. C’est un bon point pour toi.’ me dit-elle.

‘Maintenant tu vas te mettre nu que je vois la salope que tu es.’ m’ordonna-t-elle.

 

‘Tout de suite MAITRESSE.’ lui répondis-je en joignant le geste à la parole.

 

L’intégralité de mes vêtements finirent sur le dossier d’une chaise.

 

‘C’est quoi cette couche en plastique que tu portes ?’ m’interrogea-t-elle.

‘Je mouille abondamment MAÎTRESSE et je me suis permis de la mettre par respect pour vous et votre donjon.’ lui dis-je.

 

 

                                                             

 

Elle s’approcha de moi, son parfum vient m’effleurer. Il était délicieux. Soudainement, elle plaça sa main sur mon sexe à travers ma culotte.

 

‘Tu bandes déjà bien fort ma petite salope et oui, je sens déjà que tu es bien humide. Ta MAÎTRESSE te plaît tant que ça ?’

 

‘Oui MAÎTRESSE.’ parvins-je à répondre.

 

‘Très bien. A genoux chienne.’ m’ordonna-t-elle

 

Immédiatement, je m’exécutais. Elle passa derrière moi et je senti un collier de cuir prendre place autour de mon cou. Il se referma et Elle serra la sangle. Elle me mis une laisse à l’anneau qui étaient positionné devant.

 

‘Tu vas devenir une chienne docile avec ce collier. Pour ce premier acte, nous allons un peu discuter pour que je puisse mieux me rendre compte de ton côté salope. Il est impératif que tu ne me caches rien.’ m’avertit-elle.

 

Toujours en regardant le sol, je lui répondis que je ferais comme elle me l’ordonne.

 

Elle prit la laisse et me tira à quatre pattes jusqu’à son trône.

 

‘Tu vas me lécher les bottes avec ta langue. Je les veux propre.’ m’expliqua-t-elle.

‘Oui MAÎTRESSE’ lui répondis-je dans un souffle.

 

Immédiatement, je plongeais sur le dessus des bottes de MAÎTRESSE que j’entrepris de nettoyer avec ma langue. Une fois qu’un soumis connaît sa place, c’est un honneur pour lui de lécher les bottes de sa MAÎTRESSE et c’est naturellement que j’en suis venu à m’occuper des semelles et des tallons des bottes de MAÎTRESSE.

Tallons que j’aime traiter comme si c’était un beau gode ou une belle queue. C’est à dire en pratiquant une fellation à cette partie des soulier de MAÎTRESSE.

 

Pendant ce temps MAÎTRESSE me posait des questions sur ce que j’avais déjà pratiqué, sur mon orientation sexuel. Elle m’expliqua ce qu’elle attendait d’une bonne chienne soumise, ce vers quoi je devais tendre.

 

L’échange fût délicieux et courtois à bien des égards et pendant tout ce temps, je continuais à lécher ses bottes.

 

Puis vint la question. ‘Tu t’occupes de ta chatte ?’

‘Cela fait longtemps MAITRESSE.’

‘Très bien, je vais voir cela. Montes sur la table gynécologique, écartes les cuisses et présentes moi ta chatte.’ m’ordonna-t-elle.

 

Je m’exécutais immédiatement pendant qu’elle enfilait un gant de latex. Une fois en position, les jambes ouvertes, mon intimité offerte, elle commença à me caresser et me lubrifier mon nouveau sexe.

 

‘Tu sais j’adore sodomiser mes soumis. J’adore coulisser en eux. Certains ont même décidé de ne jouir que par là.’

‘Oui MAÎTRESSE.’ lui répondis-je

‘Oh mais toi tu es très serré. Il te faudrait te travailler entre deux séances car je te veux toujours prête à m’accueillir en toi. Tu dois toujours être ouverte et humide du cul donc.

 

Ses mots, ses ordres eurent un effet inattendu sur moi car je n’eus aucune douleur lorsqu’elle me planta un plug.

 

‘Apparemment tu te dilates pas trop mal puisque tu n’as pas couiner à l’introduction d’un beau plug.’ m’indiqua-t-elle.

 

Une sensation électrisante me parcourait à chaque va-et-vient de ce chibre en plastique. C’était un tout, la dilatation, la position offerte dans laquelle j’étais, ma MAÎTRESSE, déesse magnifique, qui imprimait le rythme à ce pistonnage.

 

Elle s’arrêta avant ma jouissance.

 

‘Très bien ma petite pute, tu y étais presque ?’ me demanda-t-elle

Reprenant mes esprits : ‘oui MAÎTRESSE.’

‘As-tu quelque chose à me dire ?’

‘Oui MAÎTRESSE. Merci pour tout. Pouvez-vous m’éduquer comme la salope que je souhaites devenir à vos côtés ?’

‘Oui, ma catin, je vais faire de toi une belle salope.’

 

                                                  

A ces mots, je sus que j’étais maintenant sous son emprise. Qu’elle était devenue ma MAÎTRESSE.

 

‘Très bien, ma petite chienne. Lèves toi et suis-moi. On va finir ton éducation pour aujourd’hui.’

 

J’obéis immédiatement et c’est à quatre pattes qu’elle me fit entrer dans une douche italienne.

 

‘Maintenant tu vas être marqué avec mon champagne dorée. As-tu déjà pratiqué cela ?’ me demanda-t-elle.

‘Non MAÎTRESSE.’

‘Très bien comme cela tu serras sous ma coupe complètement.’

 

Elle me fit allonger sur le dos. Appuyé sur les coudes. La tête renversée et la bouche grande ouverte.

 

‘Je vais te le donner directement en bouche, es-tu prêt à le recevoir ?’ me demanda-t-elle.

‘Oui MAÎTRESSE.’ lui répondis-je un peu anxieux

 

Elle approcha son sexe de ma bouche ouverte et rapidement je sentis son champagne me couler dans la bouche. De sentir ce liquide chaud m’envahir la bouche me donna l’envie de me caresser.

 

Chose qu’elle m’interdit immédiatement.

 

MAÎTRESSE marqua une pause. J’avais la bouche remplie de son champagne. Nous échangeâmes un regard. Je lis une note de défis dans le sien. Peut-être y vit-elle une note de soumission dans le mien.

 

Toutefois, je profitais de cet instant hors du temps, mon regard perdu dans le sien, pour avaler tout le champagne que j’avais en bouche.

 

Une fois ces premières gorgées de bu, je me remis en position pour accueillir.

 

Elle m’indiqua que j’avais l’autorisation de me masturber si je le souhaitais. C’est donc ainsi que ma bouche, mon visage furent baptisé au champagne doré de ma MAÎTRESSE.

 

Et ma jouissance est finalement arrivée lorsque MAÎTRESSE, après s’être décalé, marquait son territoire sur mon sexe en l’arrosant de son champagne.

 

 

La première leçon était finit. J’étais maintenant sous son autorité et j’en aurais pleurer tellement j’étais heureux de lui appartenir.